Plus que quelques heures avant le duel aller face à la RCA. Notre rédaction procède à une revue de troupe de trois joueuses internationales. Notamment la gardienne Carole MIMBOE, et les attaquantes Gabrielle ABOUDI ONGUENE. Focus sur la joueuse de Géneviève NGO MBELECK, indéniablement toujours disponible pour défeendre les couleurs du cameroun.
« L’accueil s’est passé comme d’habitude nous sommes des habituées. L’ambiance reste la même. Elle est bonne. Nous sommes conscientes et voulons gagner ce match. A 24heures du coup d’envoi, on ne peut que nager dans la concentration. C’est ca qui fera de nous des lionnes ce jour-là. Nous allons marcher avec toutes nos armes. Tous les matchs sont difficiles. Il n’y a plus de petite équipe. Nous préparons ce match comme si on devait jouer face au Nigéria. Nous devons juste prouver k nous sommes de lionnes et mouiller ardemment le maillot. Et l’effectif me convainc, c’est la famille. C’est obligatoire d’avoir un jeu huilé sur le terrain. »
Géneviève NGO MBELECK, attaquante lionne indomptable du Cameroun
Vers un regain de confiance après l’élimination en Bosnie
La joueuse de 28 ans est revanchard après un parcours expéditif en League des champions avec son club israélien. « En club, c’est la constante et nous essayons de nous remettre de l’élimination en champions League en Bosnie. Nous y avons perdu nos deux matchs de phases de poules. Je reviens de Bosnie un peu déçu car j’espérais y déployer tout mon potentiel dans l’espoir d’avoir des propositions de clubs. De retour en Israël, nous avons remporté l’ATHENA CUP. Une compétition organisée par les présidents de club d’Israël. On vient de commencer la saison. Actuellement à la deuxième journée du championnat. » a-t-elle livré.
L’ancienne attaquante de Caïman filles a rattrapé au mieux, son entame de saison difficile après sept mois de diserte. « Mes débuts en Israël ont été difficile interrompu par la pandémie du Covid. J’ai dû passer par contrainte, sept mois bloqués au Cameroun. Une fois rentrer en Israël, mes deux saisons se passent assez bien je suis assez bien intégré. J’espère bien me relancer ailleurs qu’en Israël. Nous faisons confiance en à nos managers qui se démerde pour qu’on sorte du pays. Le plus important c’est d’avoir un club hors du pays et subvenir à nos besoins. Nous confions toujours notre avenir à Dieu. Il s’agit de toujours se dévouer qu’importe le club dans le club tu te trouves. Tout comme ça été le cas en Biélorussie et en Espagne.
